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17/02/2014

Courage Philippe !

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Heureusement que la vie politique ne se résume pas aux invectives, coups bas et insultes en tout genre; en effet et au delà des appartenances partisanes, des évènements viennent parfois souder les individus, dans un espoir, une attente commune.

Nous sommes plusieurs dans ce cas actuellement, pensant tous les jours à Philippe MEYNARD, Maire UDI du charmant petit village de Barsac.

Victime d'un AVC la semaine dernière, il lutte sur son lit d'hôpital pour revenir parmi les siens; entouré de ses proches et amis, qui respectent l'élu et apprécient l'homme.

Car il a fallu beaucoup de pugnacité à Philippe pour accéder aux fonctions de Maire, après avoir été victime d'actes nauséabonds.

Je souhaite de tout coeur qu'il reprenne le dessus au plus vite et qu'il continue de rayonner sur Barsac pour le plus grand bonheur de ses administrés.

Courage Philippe !

07/02/2014

Face au FN le PRG, comme en 2008, continuera à promouvoir la diversité sur ses listes !

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Listes municipales 2008 et diversité: Les Radicaux de Gauche remportent la Palme!
PARIS, 19 janvier 2009 (AFP) - Une vingtaine d'élus locaux d'origine immigrée, essentiellement de banlieue parisienne, ont plaidé lundi pour l'émergence de candidats "de
la diversité", à la veille de l'investiture de Barack Obama, premier président américain de couleur.

"On est 70, on espère dans un avenir prochain, peut-être septembre, lancer un congrès des élus locaux de la diversité", a indiqué Kamel Hamza, conseiller municipal UMP à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), un des fondateurs de l'Association nationale des élus locaux de la diversité (Aneld), créée en novembre, dont les statuts pourraient être déposés à l'occasion de ce congrès.

"On va faire en sorte que les élus de la diversité, ceux qui sont conseillers municipaux puissent devenir des maires adjoints, ceux qui sont maires adjoints puissent devenir des conseillers régionaux, des conseillers généraux, devenir des maires", a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale.

"Un des objectifs de l'Aneld, c'est aussi de repérer, de faire émerger et d'accompagner les futurs Obama français, les Zidane de la politique", a précisé Sari Fouad, adjoint au maire UMP de Vigneux-sur-Seine (Essonne).

"Il faut que notre association permette que les partis politiques nous reconnaissent pour nos compétences, nos expériences et tout le travail que l'on mène sur le terrain, que l'on ne nous utilise plus comme des faire-valoir ou comme des hameçons pour alpaguer l'électeur issu de l'immigration des quartiers populaires", a estimé Mokhtaria Kebli, conseillère municipale déléguée à la médiation scolaire et au second degré à la mairie PS d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Selon une étude du Haut Conseil à l'Intégration (HCI) rendue publique lundi, les élus issus de l'immigration non-européenne ne représentent que 6,68% des élus des communes de plus de 9.000 habitants de France métropolitaine.

Cette part a toutefois doublé entre 2001 et 2008, passant de 3,18% à 6,68%.

Dans l'éventail politique, le PS remporte pour les municipales de 2008 un bien meilleur score en terme de diversité (8,71%) que l'UMP (3,44%), la palme revenant aux Radicaux de gauche (9,66%) et aux Divers gauche (9,54%).

Le PRG porte les candidatures de jeunes.

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POLITIQUE - Jérôme Negroni, élu depuis quatre ans de San Lorenzo, se présente à nouveau pour rester maire de sa petite commune de 147 habitants, dans lequel sa famille habite depuis des siècles...

Le bureau de Jérôme Negroni est en plein travaux. La pièce fraîchement repeinte, située dans l’agence postale de San Lorenzo, est encore occupée par des meubles en cours de montage et une grosse boîte à outils. Lui prend place derrière un vaste bureau flambant neuf que Pierre, chargé du réaménagement, regarde avec circonspection. Il l'aurait préféré «plus arrondi». «Mais ce n'est pas moi le patron!» Non, le «patron» c'est ce «petit jeune» de 24 ans, au visage encore poupon qui a déjà allumé ordinateur et tablette et se met au travail, reportant poliment la décision que tente de lui arracher l'artisan: où faudra-t-il accrocher les tableaux dans cet espace rénové?

Le maire de San Lorenzo dans son bureau, le 4 février 2014

Voilà quatre ans que Jérôme Negroni est le premier magistrat de ce village de 147 âmes niché dans les montagnes de Haute-Corse, quatre ans qu’il est le plus jeune maire de France. Une étiquette qui l’agace un peu, lui qui se décrit comme «un maire comme un autre». Quand il a été élu en 2009 après le décès en cours de mandat de son prédécesseur –son propre grand-père– l’élu de 20 ans a suscité la curiosité de tant de journalistes que, lassé, il a coupé son téléphone.
Un métier «appris sur le tas»

L’effervescence est passée et il prépare sereinement l’élection du 16 mars prochain, qui ne connaît qu’un seul candidat: lui-même. «Ca veut dire que les choses se sont bien passées. Pendant ma campagne en 2009, la remarque "tu es trop jeune" revenait souvent. Maintenant, les gens me font confiance». Membre du Parti radical de gauche (PRG) mais assurant n’être «pas un homme d’appareil», il dit avoir «appris sur le tas» en évitant de demander de l’aide à l’extérieur pour «avoir une connaissance parfaite des sujets».

L'agence postale de San Lorenzo accueille aussi la mairie

Il y a par exemple la voirie, dont une partie a été endommagée par des coulées de boues à l’hiver 2011. Ou la défense des activités locales: la confection de farine de châtaignes bio, la charcuterie, les deux bars, le restaurant. Le maire réfléchit aussi à l’ouverture d’une boulangerie-point chaud. Jusqu’ici, c’est un marchand ambulant de pain qui passe tous les jours.
Maire et homme à tout faire

«Il s’est fait au métier, on a vite oublié son âge», raconte une habitante, venue chercher sa fille à la sortie de l’école communale qui accueille 10 enfants, de la maternelle au CM2, «et puis il est gentil». La carte principale de Jérôme Negroni, c’est ce qu’il appelle le «relationnel». Au village, il est connu comme le loup blanc et sa fonction de maire se confond parfois avec celle d’homme à tout faire. Ce jour-là, il va vérifier le réservoir d’eau d’un habitant qui se plaint d’être à sec. Puis téléphone à un autre pour qu’il fasse un raccord.

Ensuite, il reprend cette route qu’il connaît par coeur et avale les lacets de la montagne, direction Bastia, à une heure de voiture. C’est là qu’il habite et exerce le travail qui lui permet d’assouvir ce qui est sa deuxième passion: le football.

Chargé de communication au SC Bastia, le jeune homme gère les contenus du site Internet et applications mobiles du club. Ajoutez à cela les indispensables sorties entre amis, et les semaines sont bien remplies. Jérôme Negroni ne jetterait rien de cette vie-là. A ceci près que pour «être vraiment chez lui», il va faire construire cette année un logement à San Lorenzo, où sa famille «habite depuis le 16e siècle. Au moins».